A la veille de la reprise des sessions de travail du comité de suivi de l’accord politique du 12 octobre 2016, le Groupe Organisé des Hommes d’Affaires (Goha) se plaint.
Cet accord, il faut le rappeler, prévoyait l’identification et l’indemnisation des victimes de pillages lors des manifestations politiques.
Chérif Abdallah, président du GOHA, qui réclame l’appartenance des commerçants victimes de pillages à son organisation, dit être exclu des travaux de ce comité de suivi présidé par le ministre Bouréma Condé.
Or, dit-il, personne ne peut parler au nom de ces opérateurs économiques mieux que le GOHA.
Le GOHA dit avoir fait un premier travail de recensement de ces victimes. Une liste non encore prise en compte par le comité de suivi.
A noter que ce comité de suivi reprend ses travaux demain vendredi, 06 avril 2018 après la rencontre entre le Chef de file de l’opposition et le Président de la République.
M’Bonet