La dominante de la communication du Président de l’UFR au sortir de son audience avec le Président de la République en début de semaine, reste sans doute, son plaidoyer pour l’existence légale d’un autre courant politique appelé le centrisme.
D’après Sydia Touré, cela permettra d’éviter la bipolarisation de la vie politique guinéenne.
Cette annonce du haut représentant du Chef de l’Etat, qui sonne comme un aveux d’impuissance face à l’ultra domination du landerneau politique par le RPG et l’UFDG, n’est pas partagée par tous les acteurs politiques.
Au PEDN, on n’y est pas favorable, et surtout pas du tout.
«On n’est pas favorable à cette idée. L’équilibre dépend du travail des partis sur le terrain et ses arguments dans les débats sur les grands sujets», a dit en substance Faya François Bourouno.
Sidya Touré risque de se retrouver seul dans un champ de bataille où il pourrait difficilement réussir tout seul .
ML Cissé