Mis à l’écart de la commission chargée de toiletter le fichier des fonctionnaires enseignants, le secrétaire général du Syndicat National de l’Education, qui avait été pourtant invité à participer à cette commission, prédit l’échec de l’opération.
Son point de fixation, le SLECG dont il doute des capacités à pouvoir parvenir à un résultat concluant dans l’intérêt des enseignants.
Se focalisant sur les précédents recensements effectués dans le secteur de l’éducation, Pépé Michel Balamou, estime que le SLECG devrait plutôt penser à une unité d’action syndicale.
« Le SLECG va mener une activité solitaire dont l’issue sera incertaine, d’autant plus qu’il y a eu assez de recensements dans le secteur de l’éducation dont les résultats existent… Il va falloir, à l’avenir, que le SLECG pense à l’unité d’action syndicale pour que nous puissions aller dans le sens véritable de l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants », a-t-il suggéré.
Toutefois, le secrétaire général du SNE, dit ne plus craindre de règlement de compte de la part du SLECG, comme il le redoutait dans un passé récent.
Alhassane Fofana