Après l’enlèvement de l’opérateur économique, Abdoulaye Djibril Barry, fils du célèbre homme d’affaires El hadj Guerguedji Barry, les opérateurs économiques décident d’engager un mouvement, pour réclamer plus de sécurité pour leur corporation.
C’est du moins l’annonce faite par le Groupe Organisé des Hommes d’Affaires (GOHA) «Après le kidnapping du fils d’un grand homme d’affaires de la place, l’ensemble des commerçants se sentent nettement en insécurité. Qu’il s’agisse des nationaux ou des étrangers. Nous sommes arrivés à un moment où des personnes peuvent kidnapper des gens sans qu’il n’y ait la moindre trace et sans que les forces de sécurité ne soient mises en action pour retrouver rapidement la personne. La sécurité n’est pas en train de jouer son rôle à 100 % », a déclaré Chérif Abdallah.
C’est pourquoi, poursuit-il, les hommes d’affaires vont rentrer en action pour exiger plus de sécurité. La nature du mouvement sera définie au cours d’une rencontre le jeudi prochain.
« Nous demandons à tous les opérateurs économiques d’être vigilants, tout le monde doit être en alerte par rapport à ce qui se passe dans le pays», conclut le président du GOHA.
Alhassane Fofana
C’est du moins l’annonce faite par le Groupe Organisé des Hommes d’Affaires (GOHA) «Après le kidnapping du fils d’un grand homme d’affaires de la place, l’ensemble des commerçants se sentent nettement en insécurité. Qu’il s’agisse des nationaux ou des étrangers. Nous sommes arrivés à un moment où des personnes peuvent kidnapper des gens sans qu’il n’y ait la moindre trace et sans que les forces de sécurité ne soient mises en action pour retrouver rapidement la personne. La sécurité n’est pas en train de jouer son rôle à 100 % », a déclaré Chérif Abdallah.
C’est pourquoi, poursuit-il, les hommes d’affaires vont rentrer en action pour exiger plus de sécurité. La nature du mouvement sera définie au cours d’une rencontre le jeudi prochain.
« Nous demandons à tous les opérateurs économiques d’être vigilants, tout le monde doit être en alerte par rapport à ce qui se passe dans le pays», conclut le président du GOHA.
Alhassane Fofana