Le Front National pour Défense de la Constitution (FNDC), évolue-t-il avec deux bureaux parallèles en Hexagone ? Tout porte à le croire.
Alors qu’il existerait déjà une antenne dont la coordination est assurée par madame Mamadi Bangoura, une femme de la société civile et dont le bureau installé depuis plus d’un mois, est légitimement reconnu par le coordinateur national du FNDC (Abdourahamane Sanoh), une autre « faction », dit-on, de la société civile guinéenne en France, vient de sortir de l’ombre pour mettre en place elle aussi un bureau parallèle.
Ce bureau qui se dénomme tantôt ‘’Forces vives-FNDC France’’, tantôt ‘’FNDC-France’’ (qui ne serait point reconnu par Abdourahamane Sanoh), est piloté par la femme politique, Marie Madeleine Dioubaté, présidente du parti congrès populaire africain (CPA).
Le compte-rendu d’une réunion à Paris, en date du samedi 07 septembre 2019, qui s’est soldée par la mise en place de ce bureau et dont les membres ont été installés ce même jour avec Marie Madeleine comme coordinatrice, atteste donc de cette réalité.
Plusieurs membres du bureau reconnu par la coordination nationale du FNDC, accusent dame Dioubaté et ses lieutenants, de vouloir créer de la « zizanie » dans les rangs du front.
Les défenseurs de Marie Madeleine quant à eux, motivent leur choix, par le fait que pour ne rien au monde, ils ne se laisseront diriger par une personne appartenant à la société civile.
A qui profite donc cette cacophonie ? Quelle seront ses conséquences sur les actions futures du front en France ?
Nos tentatives pour entendre Mme Marie Madelaine Dioubaté au sujet de cette affaire, sont restées pour le moment vaines.
Affaire à suivre !
Mosaiqueguinee.com