La commission de recensement du personnel enseignant, émargeant à la fonction publique guinéenne, a entamé ce lundi 18 mars 2019, les opérations de toilettage du fichier de ce corps, sur toute l’étendue du territoire national.
Ils sont trente (30) agents recenseurs, répartis en six groupes, à conduire ce travail.
Durant un mois, ces agents, vont tenter de dénicher des enseignants fictifs dans ledit fichier.
Cette première étape, consacrée à la zone spéciale de Conakry, a commencé par les directions communales de l’éducation, avant les différents établissements d’enseignement de la capitale.
Rencontré à la direction communale de l’éducation (DCE) de Matoto, le superviser du SLECG au sein de cette commission, a affiché sa détermination quant au bon travail qu’il fera sur le terrain.
« Nous avons commencé avec les effectifs de la DCE de Matoto. Nous agissons conformément aux principes et lois de la république. Nous irons jusqu’au bout pour défendre les intérêts des enseignants de la République de Guinée. Mais pour le moment, tout va bien et l’accueil a été chaleureux au niveau de la DCE », se réjouit Mohamed Ouamouno.
Pour gagner le pari, ce membre du SLECG a eu à solliciter l’implication des enseignants en situation de classe.
Alhassane Fofana