Quelques jours après les violences dans la préfecture de N’zérékoré, le conseil supérieur de la diaspora forestière, a tenu un point de presse au cours duquel, les responsables ont fait cas de plusieurs informations en lien avec les affrontements survenus dans la zone.
A la suite de ce rappel, le CSDF a demandé au président de la République d’assurer la protection des citoyens de N’zérékoré sans considération ethno-régionale ou confessionnelle.
L’occasion a également été mise à profit pour adresser une requête contenant deux points, à savoir la libération des jeunes de Kerema et la remise des dépouilles des 60 et quelques victimes à leurs parents afin qu’ils soient inhumés.
Le CSDF n’exclut d’ailleurs pas, de porter l’affaire devant les juridictions internationales
Ci-dessous copie de la déclaration :