Sans répit, ils continuent de chercher par tous les moyens à l’abattre, en dépit de plusieurs tentatives qui ont fini en eau de boudin, je parle de ces hypocrites guidés par une jalousie sans limite, qui veulent détruire la réussite de la réforme bien visible au sein de l’institution qu’il commande depuis 8 ans.
La Guinée est un pays dangereux, ce qui fait que Dieu même ne sait pas ce que le Guinéen veut.
On a l’habitude très souvent de critiquer nos gouvernants avec cette fameuse Phrase « l’homme qu’il faut à la place qu’il faut », cette phrase a du sens partout sauf en Guinée où on préfère « l’homme qu’on veut à la place qu’on veut ».
Le paradoxe guinéen étant le suivant : pendant qu’on se lamente à cause du fait que le pays est insuffisamment doté en bons cadres, des cadres patriotes, des cadres sur qui on peut compter pour l’émergence et le développement du pays, au même moment, on voit le guinéen jeter en pâture les quelques rares dignes fils du pays, en les diffamant, en les accusant de tous les sept péchés capitaux d’Israël, en mentant sur eux, en les voyant par le prisme des considérations ethniques ou politiciennes.
Mais la vérité est qu’ils sont plutôt combattus pour leurs brillants résultats qu’ils obtiennent à leurs postes, par des jaloux et des détracteurs parfois tapis dans leur propre entourage juste pour les abattre en passant par la presse.
Celui qui continue de subir cette situation regrettable dans notre pays, est bien le Général de corps d’armée, Ibrahima Baldé.
Il est important qu’en Guinée qu’on essaie de tenir certaines personnalités qui sont d’ailleurs obligées de garder le silence, même si elles sont diffamées ou accusées, eu égard leur rang loin de ces histoires d’accouchées, de ces inventions mensongères diffamatoires, infondées et inventées par des chercheurs de décret.
Le cas de Général Baldé, n’a d’autres raisons que :
-Il a trop duré laba
-Il n’est pas un de nous, c’est notre pouvoir, on dirait que c’est nous seulement qui devons gérer.
-Il n’est pas le seul intellectuel.
-Ils voient mal qu’il ait travaillé avec Dadis, Sékouba Konaté, et Alpha condé.
Mais ils oublient que le patriotisme n’est pas un verbe qui se conjugue à tout temps ou à tout mode, mais une perpétuité d’actions honnêtes en vue de chercher à comprendre tout le monde, même ses propres ennemies quel que soit le raisonnement afin d’inculquer à tous, le sentiment de patriotisme.
Lui, le Général Ibrahima Baldé, est sans ethnies, sans régions, sans religions ni clans et qui avec toute abnégation, met en valeur les compétences tout en incitant les incompétents a se former sans perdre espoir, que ses détracteurs sachent que son passé lui réserve un drap blanc, qu’ils demandent à ses collaborateurs proches pour plus de précisions sur les qualités et les compétences de l’homme.
A ces inventeurs, hypocrites, méchants, jaloux, ce proverbe de Soundjatta Keita, le roi du l’empire du Mali, je cite « le combat, ce n’est pas entre les enfants, mais plutôt leur mère », fin de citation.
Je me rappelle encore à la veille des élections présidentielles, les violences qui ont émaillé le retour du chef de file de l’opposition au niveau de la casse, quand les mêmes détracteurs ont préparé une femme qui a pris la parole lors du passage du président Alpha Condé à la casse pour constater les dégâts, « c’est le Général Baldé en personne qui s’est mis devant ses parents peuls pour venir indexer les boutiques malinké, et les casser, Monsieur le président ,et il a refusé d’envoyer les gendarmes pour sécuriser nos magasins », je me suis demande personnellement si le Général Baldé travaille à la casse pour connaitre la différence entre les boutiques malinké et peuls, du n’importe quoi.
Selon des sources très proches de la présidence, les diffamateurs et les menteurs auprès du président de la République, ont gagné contre tout le monde sauf Baldé, pour nulles autres raisons que son engagement, son professionnalisme, son courage, sa détermination et son esprit d’équipe envers ses collaborateurs les plus proches, toutes choses qui font que le président lui accorde une confiance sans égale, devenu ainsi l’un des rares officiers du CNDD qui continuent à exercer jusqu’à ce jour.
Vu ses compétences en matière de formation, au sein de la gendarmerie nationale mais pour ce qui connaissent bien cet officier de l’armée guinéenne qui a rempli avec brio sa mission en en Haïti au compte de l’ONU où il a fait la fierté de la guinée parmi tant d’autres nationalités, il est à constater avec regret que le mal de mon pays réside dans le fait de ne pas encourager les quelques patriotes qui essaient de rentrer au pays pour venir aider la patrie.
Les tonneaux vides et les chercheurs de postes ne font que les empêcher de travailler.
Aujourd’hui qu’on l’aime ou pas, il faut reconnaitre quand-même qu’il y a un changement bien visible au sein des unités de la gendarmerie sur toute l’étendue du territoire national. La preuve la plus éloquente, réside dans le nombre de jeunes diplômés recrutés à la gendarmerie, tous des universitaires.
« L’hypocrite est celui qui commence souvent ses phrases par « J’ai entendu dire que… », ou « Il paraît que… », si tu connais une telle personne, laisse tomber : Cet homme, ou cette femme, n’est pas digne d’être fréquenté. Ce sont bien souvent des fouteurs de merde qui sont à la base de fausses rumeurs »
Moussa Tatakourou Diawara