En faveur de sa politique d’assainissement du fichier des étudiants, le département de l’Enseignement Supérieur a initié un recensement biométrique.
Une vingtaine d’agents ont alors été recrutés et devaient bénéficier d’un contrat d’une durée de cinquante jours avec une rémunération fixée à 350 mille FG par jour.
Tout étant possible en Guinée dans la plus grande impunité, les jeunes ne reçoivent que 100 mille par jour travaillé. Ils verront même leur contrat fragmenté.
Interrogé par notre rédaction, afin d’équilibrer nos informations, un haut responsable du ministère de l’enseignement supérieur, sous couvert de l’anonymat , impuissant face à cette situation qu’il a fortement regrettée, a reconnu que la rémunération avait été fixée à 350 mille FG et le contrat d’une durée de 50 jours.
Affaire à suivre !!!
ML Cissé