
Lamine Cissé, DG de l’ANAIM (Agence Nationale pour l’Aménagement des Infrastructures Minières), accompagné de son conseiller juridique, M. Ibrahima Diallo, séjourne depuis quelques jours à Paris, pour dérouler un agenda entièrement dédié à la cause des mines guinéennes et de leur développement.
Depuis son arrivée dans la capitale française, M. Lamine Cissé, empile des rencontres avec les sociétés minières évoluant notamment dans le corridor nord (région de Boké), avec le seul souci d’explorer toutes les voies pouvant contribuer à optimiser les ressources de l’Etat et booster l’économie guinéenne.
D’abord, il a participé de manière très remarquée à la réunion du Comité Consultatif de CBG, le 19 octobre, en compagnie d’autres concernés comme le Directeur national des impôts.
Ensuite, il a présidé la réunion du Comité des utilisateurs des chemins de fer Kamsar-Sangaredi, en l’occurrence, les compagnies minières CBG, GAC, et COBAD, dans le cadre d’une utilisation en commun, optimisée de l’infrastructure.
Au cours de ces rencontres, des avancées considérables ont été obtenues. Il s’agit notamment de l’accord sur le budget d’investissement de la phase 1, qui ouvre la voie au début des opérations de COBAD Dian/Dian, en février 2018.

Il faut dire que l’ANAIM, sous le leadership éclairé de son jeune Directeur Général, M. Lamine Cissé, a joué un rôle important dans le cadre des investissements en Guinée.
Un effort qui a considérablement pesé en faveur du classement très honorable obtenu par notre pays, la Guinée, au terme d’un rapport présenté mercredi 25 octobre à Vienne par le Groupe de la Banque Mondiale.
Un rapport dans lequel, la Guinée, s’est vue, propulsée au 5èm rang du club très éclectique des meilleurs pays réformateurs au monde, et attirant plus d’investissements directs étrangers.
En effet, depuis la nomination de Lamine CISSE, plusieurs accords ont été signés, en termes d’investissements. Des accords dont la valeur vénale culmine autour de plus de 3 milliards de dollars USD, rien que pour le corridor nord-ouest, sans compter les milliers d’emplois directs et indirects.
Avec ces accords, il faut dire que la Guinée pourrait atteindre plus de 70 millions de tonnes de bauxite à l’horizon 2027 et devenir ainsi le premier producteur mondial de bauxite.
Focus mosaiqueguinee