A la Société des Eaux de Guinée (SEG), l’opinion découvre jour après jour des scandales, ressemblant à un véritable feuilleton sur un modèle de gestion du patrimoine national, basé sur le laisser-aller et le laisser-faire.
Après et avant le DGA de la SEG, des cadres ont aussi alerté Sekhoutoureya du danger que représente la gestion de leur Directeur général, notamment sur la santé publique
En dépit de la convergence d’appréciations négatives sur la gestion de la SEG, Mamadou Djouldé s’enracine impunément par les bons soins de ses complices qui, hélas, sont aussi des hommes instruits par le Président de diligenter les dossiers le concernant.
Ils se font passer pour des bons conseillers, mais travaillent tous autour d’Alpha Condé à sauver la tête de ceux qui les ravitaillent par l’argent mal acquis de leur gestion.
L’administrateur général des grands projets serait parmi les protégés de Djouldé.
Cet homme effacé, dont le silence, d’après les petits malins, est à justifier par ses liens très poussés avec le chef de file de l’opposition, mais profitant bien et faisant aussi profiter ses parents du pouvoir, parce que se faisant passer pour un cacique discutable du Rpg , est accusé d’être le tombeau de tous les rapports concernant des cadres dont la gestion est beaucoup critiquée.
Il aurait reçu pour diligence, ce memo élaboré par les cadres de la SEG sur instruction du président de la République depuis très longtemps. La suite, plus rien !
Qu’à ce la ne tienne, ces cadres, en dressant l’état des lieux de la SEG, dénoncent : l’absence de système fiable de comptage d’eau brute et d’eau traitée ; le vieillissement des équipements de traitement d’eau; le réseau de transport et de distribution ne fonctionne pas avec leur pleine capacité…
Les problèmes récurrents sur les sites de production ne sont pas occulté dans ce document. Tout ceci découlant d’une mauvaise prise en compte du choix des équipements, du suivi de leurs fiches et de la non planification d’un renouvellement conséquent. Au niveau de l’exploitation font remarquer ces cadres, la qualité du service rendu au client consommateur n’est pas normalisée.
Au niveau des ressources humaines, enfoncent des cadres, le clientélisme dans l’embauche, entrainant une pléthore de personnel non qualifié et une inadéquation entre les profils et les postes.
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