Lors de l’assemblée générale ordinaire de son parti ce samedi, le leader de l’UFR a déploré une forme de discrimination de que subirait son parti.
Sidya Touré a explique d’abord que l’apport de l’Etat dans le financement des partis politiques, devrait être déterminé par la représentativité de ces derniers à l’Assemblée nationale.
Puis, il explique aussi que l’UFDG et le RPG, qui ont des groupes parlementaires, profitent du financement de l’Etat alors que l’UFR, malgré sa présence, lui aussi, au parlement, ne gagne rien.
« Trois groupes parlementaires sont actuellement à l’Assemblée Nationale. Parmi ces trois groupes parlementaires, seul celui de l’UFR n’a pas de financement. En France, le pays qui est notre pays de référence, vous avez vos financements à partir de vos députés à l’Assemblée Nationale », a déclaré Sidya Touré.
L’UFDG, poursuit-il, par le truchement d’une loi qu’on a fabriquée pour la raison, touche sept milliards de francs guinéens par an, cela leur permet de faire leur campagne.
« Le RPG, c’est le parti au pouvoir… L’UFR ne reçoit aucun centime de l’Etat. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous n’avons pas pu aller au-delà de deux cents candidatures(…). Nous sommes le seul groupe qui ne reçoit pas de financement de l’Etat, nous l’avons dénoncé et nous allons reposer le problème à l’ouverture de la session parlementaire en avril », a ajouté l’opposant.
Notre exemple, conclut-il, c’est la France, le système de financement des partis est basé sur le nombre de députés que vous avez à l’Assemblée nationale et non pas sur des décisions qu’on prend de manière erratique.
Alhassane Fofana.
Sidya Touré a explique d’abord que l’apport de l’Etat dans le financement des partis politiques, devrait être déterminé par la représentativité de ces derniers à l’Assemblée nationale.
Puis, il explique aussi que l’UFDG et le RPG, qui ont des groupes parlementaires, profitent du financement de l’Etat alors que l’UFR, malgré sa présence, lui aussi, au parlement, ne gagne rien.
« Trois groupes parlementaires sont actuellement à l’Assemblée Nationale. Parmi ces trois groupes parlementaires, seul celui de l’UFR n’a pas de financement. En France, le pays qui est notre pays de référence, vous avez vos financements à partir de vos députés à l’Assemblée Nationale », a déclaré Sidya Touré.
L’UFDG, poursuit-il, par le truchement d’une loi qu’on a fabriquée pour la raison, touche sept milliards de francs guinéens par an, cela leur permet de faire leur campagne.
« Le RPG, c’est le parti au pouvoir… L’UFR ne reçoit aucun centime de l’Etat. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous n’avons pas pu aller au-delà de deux cents candidatures(…). Nous sommes le seul groupe qui ne reçoit pas de financement de l’Etat, nous l’avons dénoncé et nous allons reposer le problème à l’ouverture de la session parlementaire en avril », a ajouté l’opposant.
Notre exemple, conclut-il, c’est la France, le système de financement des partis est basé sur le nombre de députés que vous avez à l’Assemblée nationale et non pas sur des décisions qu’on prend de manière erratique.
Alhassane Fofana.