Dans moins de deux semaines, très exactement le 13 janvier prochain, auront lieu les élections chez les 518.
Plusieurs candidats se font annoncer pour occuper des postes dans le bureau. Six personnes sont à choisir pour le très convoité poste de président.
Pourquoi autant d’intérêts pour ce poste, qui autrefois, suscitait de la répugnance pare que l’estimant à l’époque encombrant et dispendieux.
Une enquête de notre reporter permet de lever un coin de voile sur cette élection qui aiguise bien d’appétits des membres et d’autres personnes extérieures haut perchées.
En réalité, après la mort de trois des leurs, il y a aujourd’hui 515 jeunes recrutés promis pour des postes de DAAF et dans d’autres structures financières, qui auront le choix au bout de leur conviction (pas certain) de leurs nouveaux dirigeants.
Des tractations impliquant même les cadres du parti présidentiel à travers un des candidats, à l’occurrence Mohamed Lamine Traoré, ancien secrétaire général de section du RPG, aujourd’hui DGA de la caisse de prévoyance sociale, polluent l’atmosphère et pourraient changer les donnes logiques.
En plus de Traoré, il y a aussi Doussou Camara DAAF du ministère du commerce, Mamadi Konaté, celui des impôts, Sékou Djène Keita des douanes, qui se battent pour détrôner Sampil, qu’ils accusent ne pas faire mieux pour donner du travail aux siens.
Autres accusations contre l’actuel patron de cette association, proférées par les adversaires de celui-ci, c’est la source douteuse des financements des activités menées par l’association.
Dans leurs prospections, le poste est perçu comme un tremplin et une garantie de sédentarité. D’où leur intérêt pour le poste, affirme-t-on.
« C’est de la dérision et la pure diffamation », s’offusquent les partisans de l’actuel président qui sont d’ailleurs très nombreux et conscients de ses efforts.
« Au départ c’était des groupuscules méconnus où chacun se débrouillait comme il pouvait », nous dit un des membres des 518
Des informations convergentes concoctées auprès des personnes d’opinions divergentes mais sincères attestent que c’est grâce à Sampil que le groupe a été constitué et bien organisé pour devenir aujourd’hui puissant et influent.
On apprend aussi, avec des preuves qui nous ont été brandies, que les charges liées à l’organisation des activités par l’association, sont supportées par Sampil.
Il le fait, nous a-t-on dit, pour maintenir la dynamique de progression de l’association qui s’impose grâce aux actes persévérants de son président, comme l’un des soutiens incontestables de son géniteur, le Président de la République.
La commission d’organisation dit ignorer tous ces agissements parfois peu honorables. Elle affirme ne pas être concernée par ces actes et rassure se focaliser sur la transparence des élections.
Nous y reviendrons !
ML Cissé