Depuis plus d’une semaine, le secrétaire auto-proclamé du SLECG s’engage dans une bataille jugée illégale avec l’Etat. Au pire, il semble verrouiller toutes les possibilités de négociations avec le même Etat en brandissant des arguments très peu comestibles.
Pour la deuxième semaine de la grève qui débute ce lundi 19 février, la psychose s’amplifie et l’on accuse le syndicaliste gréviste d’être à la manoeuvre à travers des pratiques peu catholiques.
D’après des sources persistantes, des personnes en relation avec Soumah, auraient mené des contacts avec d’autres couches sociales à Conakry dans le but dit-on, de paralyser la capitale et de faire sentir à l’échelle nationale les conséquences de sa grève
La même source révèle que des femmes de Avaria, dans le marché de Madina, le plus grand du pays, auraient été à cet effet contactées.
La présidente des femmes de ce marché sans toutefois démentir la tentative de contagion lors d’un point de presse qu’elle a improvisé ce dimanche, 18 février 2018, condamne cette attitude et en appelle à la sérénité.
Ça va barder.
Nous y reviendrons!!!
Mohamed