Alors que jusque-là, la communauté internationale n’occupait que le banc des observateurs au sein du comité de suivi de l’accord du 12 octobre, ledit comité souhaite la voir désormais active dans les débats.
Pour le président du comité de suivi, Général Bouréma Condé, l’objectif est de profiter de l’expertise de ceux qui incarnent la communauté internationale à ces rencontres.
«Aujourd’hui nous avons pris la décision avec l’accord de tout le monde de renforcer cette réunion restreinte par quelques experts de la communauté internationale.
On a toujours besoin de l’expertise de quelqu’un. Ce n’est pas parce qu’on ne s’entend pas entre nous Guinéens, mais peut être qu’ils ont vécu cette expérience ailleurs. Reprendre des expériences qui ont fait des fruits ailleurs vous fait économiser du temps », dit-il.
Vendredi prochain, ces représentants de la communauté internationale pourraient donc changer de place autour de la table de négociation.
Abdourahamane Diallo
Pour le président du comité de suivi, Général Bouréma Condé, l’objectif est de profiter de l’expertise de ceux qui incarnent la communauté internationale à ces rencontres.
«Aujourd’hui nous avons pris la décision avec l’accord de tout le monde de renforcer cette réunion restreinte par quelques experts de la communauté internationale.
On a toujours besoin de l’expertise de quelqu’un. Ce n’est pas parce qu’on ne s’entend pas entre nous Guinéens, mais peut être qu’ils ont vécu cette expérience ailleurs. Reprendre des expériences qui ont fait des fruits ailleurs vous fait économiser du temps », dit-il.
Vendredi prochain, ces représentants de la communauté internationale pourraient donc changer de place autour de la table de négociation.
Abdourahamane Diallo