Tôt ce matin, un important dispositif sécuritaire, composé d’agents de la police et de la gendarmerie, était constitué aux alentours du ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation.
Ceci, pour contrer tout agissement des enseignants-frondeurs. Lesquels, pour rappel, greffent à leur revendication originelle d’augmentation salariale à hauteur de 8 millions de francs guinéens, la protestation contre le gel du salaire de certains collègues grévistes.
Mais aussi et surtout, la menace de radiation brandie récemment par les autorités de tutelle.
Reste à savoir si ces enseignants, gonflés à bloc et qui campent toujours sur leur décision, iront dans leur revendication, jusqu’à pouvoir défier les forces de l’ordre.
Affaire à suivre !
Hadjiratou et Alhassane fofana