Fidèle à sa vocation d’entreprise citoyenne, la Compagnie des Bauxites de Guinée (CBG), continue d’apporter son assistance aux communautés locales de ses zones d’influence.
Ce mercredi, 19 décembre 2018, le directeur général de la CBG, en compagnie de plusieurs cadres de cette société minière, a procédé à l’inauguration d’une école de trois salles de classes, avec deux blocs de latrines, dans le district de Kansita, relevant de la sous-préfecture de Kolaboui.
Un puits amélioré, vient également s’ajouter à cet édifice flambant neuf.
Le coût de réalisation de ces infrastructures s’élève à 450 millions de francs guinéens.
Un investissement important aux yeux du directeur général, Souleymane Traoré.
« Si la formation à la base n’est pas assurée, on ne pourra pas récolter un produit clair, satisfaisant. C’est à dire, le reste du parcours académique sera un peu compliqué. C’est, donc, un sentiment de fierté, que nous ayons pu offrir ces trois salles de classe, avec le bureau des enseignants et du principal. C’était important pour nous, que les enfants à bas âge ne fassent pas des kilomètres pour aller à l’école », a-t-il indiqué.
Mamadouba Yakha Camara, sous-préfet de Kolaboui, a pour sa part, remercié la CBG, pour cette assistance, et a par ailleurs exhorté les populations, à prendre soin du bijou qui leur est ainsi offert.
Cette autre assistance de la CBG aux communautés, vient agrandir l’éventail des actions, déjà, réalisées sur le terrain.
Bien avant cette inauguration, les cadres de la CBG ont communié avec les femmes mareyeuses, qu’ils accompagnent déjà, depuis des années.
Témoignant de cet état de fait, leur présidente n’a pas tari d’éloges à l’endroit de la CBG.
« Que l’on soit toutes des commerçantes et que l’on ait des revenus aujourd’hui, c’est grâce à l’appui de cette collaboration entre la CECI et la CBG. Ils nous ont donné des formations afin de nous permettre d’écrire, de faire des calculs sur des machines. Nous faisions cette activité dans le noir, nous n’étions que de simple commerçantes, mais grâce à leur aide, nous avons aujourd’hui une ouverture d’esprit », a reconnu Rouguiatou Bangoura.
La même visite, nous a conduit dans l’enceinte des structures appelées Très Petites Entreprises (TPE), qui sont à ce jour une quinzaine dans la zone et emploient plus de mille deux cent personnes.
Abdourahmane Diallo