En plus du dossier chinois dont il a la responsabilité de conduire pour l’acquisition de financements des grands projets de développement, Ibrahima Kalil Kaba doit désormais démultiplier ses efforts, pour de nouveau mériter la confiance du président qui le nomme à la tête du comité de régulation des postes et télécommunications.
Cette nouvelle responsabilité, à lui confiée, par le chef de l’Etat, prouve avec une évidence candide, qu’il n’est pas un météore dont on peut disposer à volonté, pour des guerres de positionnement.
Toujours accroché à sa tablette, souriant, humble et social, des qualités qui lui valent des pires adversités de la part des envieux aux caractères contrastants, donc introvertis, égocentriques et répulsifs, le directeur de cabinet à la présidence, de par son background qui impose le respect, apparait comme étant le choix idéal pour mener à bien les politiques de restructuration qu’ambitionne le président de la république.
Lilou en a pourtant autant subi : des combines de toute sorte, la description caricaturée de son égo, les procès d’intention lui collant des ambitions politiques.
Ils ont tout essayé pour l’éteindre, mais il résiste encore grâce à sa sincérité et à sa loyauté sans faille, dans sa collaboration avec son patron à Sékhoutoureya.
Il dit d’ailleurs tout devoir dans sa vie à celui-ci, pour la confiance qu’il ne cesse de lui renouveler.
Le président a compris qu’il faut davantage plus de dynamisme pour une gestion vertueuse dans le secteur des télécommunications, qui sont d’ailleurs de gros pourvoyeurs de recettes d’où le nom de l’économie numérique.
Alors, le choix de l’homme en vue de traduire cette volonté présidentielle en une réalité, ne souffre d’aucune contestation aussi bien à cause de son niveau de connaissance du domaine dans lequel il est bardé de grands diplômes acquis dans les grandes universités américaines, mais aussi à cause de son intégrité et de son sens élevé dans la gestion des biens publics.
Cette nomination de Lilou, en dépit des attitudes de ceux qui le torpillent et le brocardent, prouve que le président de la république, avec beaucoup de sagesse et d’intelligence, sait bien se détourner, pour des choix utiles, des mauvais conseils de certains de ses collaborateurs bonimenteurs, insatiables, se faisant passer pour des plus loyaux, s’accrochant à des parcours historiques pour s’attirer des sympathies.
Abdoulaye Bangoura
Celui qui a fait fuir de nombreux investisseurs en leur demandant de l’argent ou des parts dans leur société…. Mr 10%