Quelle leçon tirer de l’accord auquel la Guinée et la BSGR, sont parvenues, et qui permette de mettre un terme à un bras de fer judiciaire de plusieurs années autour des blocs 1 et 2 du gisement de fer de Simandou ?
C’est la question que nous avons posée, ce mardi 26 février, à l’ancien conseiller en charge des mines à la présidence et au ministère des mines et de la géologie.
Selon Me Momo Sacko : « Il faut que la Guinée apprenne à compter sur elle-même pour financer son développement…Si le Président a décidé de prendre la mesure des choses et de travailler avec tout le monde, tant mieux. C’est une bonne chose », a-t-il dit.
L’avocat d’affaires, estime que « le Président s’est rendu compte que les concours financiers au titre d’aide budgétaire des partenaires bi et multilatéraux, ne sont pas assez consistants et que le montant d’un milliard cinq, que BSGR devait verser à l’Etat avant était une opportunité de combler le gap à l’interne. Cela aurait permis à la Guinée de financer son plan de développement économique et social que le pays cherche aujourd’hui un peu partout dans le monde ».
Dossier à suivre !
Bangoura M