Après avoir constaté et déploré les souffrances endurées par de nombreux candidats au Hadj ainsi que sa mauvaise organisation en 2018 et les années précédentes, le Président guinéen veut prévenir à tout prix la sainte pagaille enregistrée à l’époque et qui pouvait être évitée par le secrétariat en charge des affaires religieuses.
Lors du dernier conseil des ministres, c’était le jeudi 28 février 2019, le Président de la République a insisté de nouveau sur l’urgence et la priorité que revêt l’amélioration significative des conditions d’organisation du pèlerinage musulman.
Dans le compte-rendu du gouvernement, le porte-parole nous apprend que le Chef de l’Etat guinéen a notamment déploré les souffrances endurées par de nombreux candidats au Hadj.
Mais ce qu’a exigé le Président Condé, c’est que, sur la base d’une large concertation nationale, des mesures correctives soient immédiatement prises, dans le but de permettre à nos compatriotes, d’effectuer le pèlerinage aux lieux saints, dans les meilleures conditions de confort et de sécurité.
Bangoura M