Depuis l’avènement du président Alpha Condé au pouvoir, environ 75 milliards de francs guinéens ont été investis dans l’assainissement, sans que la ville de Conakry ne change de visage.
Ce mardi, l’Union des gestionnaires des Ordures Ménagères de Guinée (UGOM), était face à la presse, pour aborder cette question aux allures de quadrature d’un cercle.
A cette occasion, ces acteurs, ont insisté sur l’implication des populations, dans les initiatives et programmes d’assainissement de la capitale guinéenne, avant de préconiser des sanctions.
« Conakry ne peut pas être propre, si on ne fait pas intervenir la population. Il faut de la sensibilisation mais aussi des sanctions. Il faut aujourd’hui qu’il soit mis à la disposition des communes des services de salubrité publics qui puissent travailler avec le nouveau code de l’hygiène et de la salubrité publique. Il faut valoriser les déchets aujourd’hui », a mis en avant Ahmed Mara, membre de l’UGOM.
Au cours de cette conférence de presse, l’Union des gestionnaires des Ordures Ménagères de Guinée (UGOM), a salué le travail que le ministre Papa Koly Kourouma, abat depuis son arrivée à la tête du ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement.
Al Hassan DJIGUE