Le débat autour de la possibilité de changement constitutionnel, a lieu en ce moment partout à travers le pays.
Dans la commune urbaine de N’Zérékoré et dans la préfecture de Beyla, on ne tergiverse plus, le militantisme pour le changement est plus fort.
Cette semaine, sous la direction du ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Lansana Komara, un des fils de la localité, le grand konia a dit OUI pour une réforme constitutionnelle en Guinée.
N’Zérékoré, une ville économique, mais aussi remarquable pour son poids électoral. Dans la capitale naturelle de la région du sud du pays, le débat autour du principe de réforme constitutionnelle, n’est plus tendu. Les adhésions sont nombreuses.
A la coordination régionale du grand Konia, sages, femmes et jeunes ont exprimé leur volonté de soutenir le projet de nouvelle constitution, proposé par le gouvernement.
Pour cette assemblée, cet engagement politique est l’expression de sa reconnaissance aux actions posées depuis la 3eme république.
De nombreux chantiers sont en ce moment ouverts dans la région. Mieux, plusieurs fils de la localité bénéficient de la confiance du Chef de l’Etat depuis son élection à la magistrature suprême.
Devant le ministre Komara, les acteurs se sont engagés à ne rien entreprendre qui puisse perturber le climat de quiétude sociale. A chacun d’exprimer pacifiquement son avis et de trouver des arguments pour convaincre l’autre.
Plus loin, à Beyla, la capitale du grand konia, la tonalité est la même. Les 13 communes rurales se disent favorables à un changement constitutionnel.
Un engagement qui vient conforter la déclaration du bureau politique national du parti RPG Arc-en ciel, tenue récemment à Conakry, par le secrétaire administratif Lansana Komara.
Moussa Komara