Figures de proie du FNDC, Sékou Koundouno et Oumar Sylla dit Foniké Menguê, brièvement interpellés, mardi après-midi, ont été tous totalement libérés, au terme d’un interrogatoire, ce mercredi 17 juillet, à la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) à Kaloum.
Interrogé à ce sujet par mosaiqueguinee.com, François Bourouno, responsable communication du parti de l’espoir pour le développement national (PEDN), a invité le FNDC, à engager des poursuites judiciaires contre l’État guinéen, pour privation de liberté, suite à l’interpellation de ses deux membres.
« Le FNDC doit porter plainte contre l’État, pour privation de libertés individuelles, et violation des droits humains », a-t-il lancé d’entrée.
François Bourouno, a ensuite dénoncé ces interpellations, non sans les assimiler à un signe de fin de règne.
« Ça déshonore complètement notre pays. Ce sont les signes de la déconfiture d’un régime. Ça nous montre que le déclin est annoncé. Et le rythme est très exponentiel », a- t-il renchéri.
Saidou Barry
