La célébration de l’Aïd-El Kébir ou la Tabaski m’offre l’occasion de souhaiter bonne fête à tous les fidèles musulmans de Guinée et d’ailleurs ainsi qu’à leurs proches.
Je rends grâce à Dieu, le très haut, pour sa foi, la santé et la force de vivre.
Je lui rends également grâce, pour m’avoir permis de fêter la tabaski de cette année pendant une période particulièrement inédite, caractérisée par la propagation de la maladie du coronavirus.
Je profite de cette occasion, pour avoir une pensée pour tous les morts de cette maladie, ainsi que pour tous nos devanciers. Que Dieu ait leurs âmes !
En effet, mes vœux aux personnels de la santé qui sont sur la ligne de front contre cette maladie et qui mettent ainsi leur vie en danger pour sauver des vies. Grace à leurs efforts, le décompte macabre, tel qu’annoncé, n’a pas eu lieu.
Au prime abord, toute ma gratitude au Président de la République, l’architecte et l’ouvrier de ce combat contre cette pandémie qui décime l’humanité.
Mes vœux à lui et à son gouvernement, à sa tête Dr Kassory Fofana, pour leurs efforts constants pour la construction d’une Guinée unie et émergente.
Je ne saurais clore mes propos sans souhaiter mes vœux les meilleurs à mon ministre, Monsieur Ismael Dioubaté, et à toute l’équipe de la Direction nationale des impôts, qui ont été d’un grand apport, pour la réalisation des nombreuses réformes que je mène pour l’accroissement et la sécurisation des recettes fiscales.
C’est aussi l’occasion pour moi, à l’orée de l’échénce électorale cruciale qui attend notre pays et suscite parfois, de très grandes agitations politiques, d’appeler nos compatriotes à davantage cultiver la paix, l’union et la concorde, afin de préserver notre pays d’éventuelles incertitudes.
Aboubacar Makissa Camara