Lors des précédentes rencontres de la cellule technique d’actions et de suivi du processus électoral, les représentants des candidats ont évoqué l’éloignement des électeurs de leurs bureaux de vote dans plusieurs circonstances du pays.
Si beaucoup d’entre eux se prononçaient sur la nécessité de créer des bureaux bis, la commission électorale nationale indépendante n’a pas accédé à cette demande.
Et pour cause, l’institution électorale redoute de la fraude, en procédant à ce réaménagement.
« Pour le cas des électeurs qui sont éloignés de leurs bureaux de vote, nous avons retenu qu’il n’y aura pas de bureaux bis. Parce que c’est une source de fraude massive. Il n’y aura pas aussi de mobilité de bureaux de vote. Parce que ça aussi, ça peut faire l’objet de fraude », a laissé entendre le vice-président Bakary Fofana.
DOURA