Depuis Abidjan où il vit il y a plusieurs mois, le président du parti UFR et ancien premier ministre n’a pas porté de gants pour condamner les violences exercées sur les journalistes le lundi 16 octobre lors d’une marche initiée par le SPPG.
Sidya Touré dénonce un recul et fait remarquer qu’il ne s’aurait y avoir une véritable démocratie sans une presse libre.
« Nous nous sommes battus en 2005 pour faire de la liberté de la presse une réalité en Guinée. Il ne saurait avoir une véritable Démocratie sans une presse libre. La violence proférée, ce lundi, contre des journalistes suivie de l’arrestation de 14 d’entre eux, est un recul. », a-t-il flétri sur le réseau X.
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