À la suite de la fermeture de Djoma, FIM, Espace et Sweet Fm, les patrons de ses médias ont à travers un communiqué conjoint, condamné ces actes liberticides.
Pour eux, cette décision de fermeture est la suite logique des persécutions dont ils font l’objet depuis novembre 2023.
Ces trois médias disent se réserver le droit d’engager des démarches autorisées par les lois, en vue de contester et d’obtenir l’annulation de cette decision administrative. Tout en attirant l’attention de l’opinion nationale et internationale, les défenseurs des droits de l’homme et de la liberté de la presse, les défenseurs du droit du travail, sur les conséquences dramatique de cette décision.