Après sa brillante participation à la 79éme Assemblée Générale des Nations Unies du sommet de l’avenir qui a eu lieu à New York. Ce jeune des grands milieux continue de mener des négociations auprès des grandes institutions internationales afin de lever des fonds pour des projets de développement durable en faveur de la Guinée.
Les assemblées annuelles 2024 du Fonds monétaire international et du Groupe de la Banque mondiale a ouvertes ses portes ce lundi 21 octobre au samedi 26 octobre à Washington, D.C. Outre la session plénière et les réunions du Comité du développement et du Comité monétaire et financier international, ces assemblées mettront en lumière les enjeux urgents de l’économie mondiale et des marchés financiers.
L’acteur de développement durable et promoteur des 17 (ODD), Mamady Aminata TOURE, Président/Fondateur de l’organisation Community Initiatives For Peace And development (CIPAD International) et Point Focal de l’Économie Sociale et Solidaire en Guinée, est invité officiellement par #Madame Kristalina Georgieva, La Directrice Générale du Fonds Monétaire International (FMI) et M. #Ajay_BANGA Président du Groupe de la Banque Mondiale à leur siège à Washington DC, pour discuter des questions liées à l’adaptation, aux atténuations et aux dérèglements climatiques en Guinée et en Afrique. Il a rencontré la Directrice de FMI et la journaliste Américaine Claire Shipman de CNN et BBC pour une meilleure vulgarisation et sensibilisation sur les dégâts causés par les inondations en Afrique et les menaces qui guettent le continent.
Le Groupe de la Banque mondiale, notamment IFC, est en pleine transformation pour mieux relever les défis mondiaux. Ceux-ci sont immenses : près de 700 millions de personnes vivent encore dans l’extrême pauvreté, et 1,2 milliard de jeunes dans les pays du Sud devraient entrer sur le marché du travail au cours de la prochaine décennie
Lors de ces assemblées annuelles et dans les mois à venir, les priorités seront axées sur l’impact de l’institution, la mobilisation du secteur privé, le soutien à l’action climatique et au développement durable, ainsi que sur les pays fragiles et à faible revenu, tout en visant la création d’emplois pour transformer les économies.
Le système agricole et alimentaire mondial doit nourrir une population en forte croissante, mais son rôle ne s’arrête pas là. C’est aussi un moteur puissant de croissance et de création d’emplois. Cependant, pour libérer durablement ce potentiel, le système doit être repensé pour qu’il serve en priorité à renforcer la nutrition, la résilience climatique et la lutte contre la dégradation de l’environnement.