Transféré à Boké en 1972, après sa création en tant que faculté, alors qu’il relevait de l’institut polytechnique de Conakry jusqu’en 1962, l’institut supérieur des mines et de la géologie de Boké (ISMGB), est aujourd’hui un modèle en matière d’ouverture au monde extérieur.
Cette politique, a été l’un des objectifs majeurs, que la nouvelle équipe dirigée par Dr Oumar Keïta, s’est fixée, dès sa prise de fonction en novembre 2017.
En une année donc, le directeur général dudit institut et ses collaborateurs, ont procédé à la signature de plusieurs conventions.
En Guinée, cette institution d’enseignement supérieur, collabore étroitement avec les universités Gamal Abdel Nasser de Conakry, Général Lansana Conté de Sonfonia et l’institut supérieur de l’agronomie de Faranah.
A l’échelle internationale, il faut noter les conventions de partenariat avec l’institut national polytechnique de Yamoussokro (Côte d’Ivoire), l’Ecole des Mines d’Albi (France), l’Université Libre de Bruxelles (Belgique), Rex France, l’Université Tchontchine de Chine et CODES-Utas en Australie.
Toutes ces conventions, faut-il le rappeler, s’inscrivent dans le cadre du transfert de compétence entre l’ISMGB et ces institutions d’enseignement.
Cela permet à l’institut des mines de Boké, d’avoir à ce jour treize doctorants. Quatre (4) sont de retour, trois (3) sont en Côte d’ivoire, trois (3) autres en France et les restes, en Chine et en Russie.
En ce qui concerne les sociétés minières pour terminer, de nouvelles conventions ont été signées avec certaines et celles déjà existantes ont été rédynamisées.
Abdourahmane Diallo