Selon des indiscrétions, le SLECG et le gouvernement devrait renouer le fil du dialogue en vue de trouver un dénouement heureux à la crise qui secoue présentement le secteur de l’éducation.
Joint au téléphone à ce propos, le secrétaire général du SLECG a balayé d’un revers de la main cette information.
Selon Aboubacar Soumah, le SLECG ne participera à aucune négociation avec le gouvernement tant que ses collègues ne sont pas libérés.
« Il n’y aura pas de négociations tant que nos collègues qui sont injustement arrêtés ne sont pas tous libérés. Et là-dessus, nous sommes fermes sur notre position » a lancé Aboubacar Soumah, ce mercredi matin.
Hadjiratou Bah