Longtemps réclamés par la jeunesse africaine dans sa quasi-totalité, les sommets France-Afrique ou Afrique-France , jadis réservés aux » chefs d’état » don’t beaucoup de vieux dictateurs, aussi aux acteurs qui promeuvent encore des valeurs démocratiques et humaines, tous à la même table. Je vous passe le commentaire, la 28ème édition a connu une révolution dans le choix des invités qui ont animés les différentes activités dédiées à ce rendez-vous au format inédit.
Pour cette première, les chefs d’Etat et de gouvernement ont cédé leurs places à des jeunes figures prometteuses pour l’Afrique. Des jeunes issus de tous les horizons (sports, cultures, universitaires ; acteurs de la société civile et politiques etc…).
Le seul guinéen admis à cette tribune de portée mondiale, est bien le Président du parti MoDeL, le brillant et charismatique Aliou Bah, qui de par ses prises de paroles connues de tous, est l’une des voix les plus audibles du pays en termes du renouveau, de l’équilibre des valeurs. De son engagement dans les combats citoyens et des défenses des valeurs humaines, morales, il a toujours joué depuis son apparition dans l’espace politico-médiatique du pays, le rôle de premier plan pour l’avènement d’une Guinée démocratique.
Dans sa prise de parole au débat à Montpellier, Aliou BAH ne « cherche pas à ce que la France vienne nous débarrasser de nos vieux dictateurs, pour lui l’Afrique , la jeunesse africaine elles mêmes s’en chargeront ; il souhaite juste que la France en tant puissance et au regard des liens historiques qu’elle a avec le continent africain s’éloigne de ces dictateurs certes légaux selon les lois qu’ils se sont pour la plupart fabriqués mais illégitimes dans l’opinion et c’est cela le plus déterminant .Il a plaidé plutôt pour que l’ancienne puissance coloniale travaille sur le raffermissement des rapports dorénavant basés sur le respect mutuel et un partenariat décomplexé». Il est franc, cohérent, simple et clair. La vie de l’Afrique aux africains, les autres pour être les meilleurs partenaires pour un monde nouveau au sens large (MULTILATERALISME)
Aliou Bah, car c’est de lui qu’il s’agit, est un homme politique, il n’est ni blogueur, ni activiste sur la toile. Il est en quête et l’exercice du pouvoir d’Etat que son peuple jugera un jour de lui conférer sur l’unique base de son projet de société et des valeurs humaines qu’il proposera. Admettons sans ambages, il incarne la rupture et le renouveau. C’est est une fierté africaine et une grande alternative pour la Guinée qui se bat inlassablement depuis 63 ans pour son indépendance.
Aliou Bah est jeune, il est au milieu des jeunes, il travaille au quotidien avec les jeunes de toutes obédiences, écouté par tous les âges, son seul baromètre : les valeurs républicaines axées sur la bonne gouvernance, l’intégrité et l’excellence. Alors, nous pouvons tout lui reprocher, sauf son sens à l’autodétermination des peuples, et la croyance forte sur le fait que nul ne viendra faire à la place des africains le travail qui est le leur.
Pour les détracteurs tous azimuts, les sensibilités peuvent être diverses mais certaines valeurs, à certains moments peuvent rassembler, peuvent réduire les fossés existants, et donner le sentiment que la Guinée et les guinéens sont indivisibles.
Retenez que la fierté incarnée par le leadership d’un digne enfant du pays ne saurait être galvaudée ni piétinée sous l’autel des saboteurs tapis dans l’ombre.
Reconnaissons que, Aliou Bah, est un panafricain vrai, pas en carton et populiste. C’est un leader, un homme d’Etat à la cohérence incontestable, plein d’ambition pour cette Afrique dont les enfants les plus brillants immigrent, refusent le combat rapproché aux côtés des populations et des terres africaines qui les ont vu naître.
Lui, il a choisi d’être là, il a choisi plutôt d’arpenter avec ses concitoyens, et au quotidien, les réalités qui fondent notre existence et notre identité. Il a toujours refusé de boire le calice de la médiocrité, de la corruption, de la compromission comme tant d’autres l’ont fait avant lui dans les mêmes conditions.
L’Afrique et les africains doivent, savoir mener des réflexions loin de la passion, loin des replis identitaires, loin des extrêmes de tout genre.
N’ayons pas le complexe d’apprécier et de célébrer ces filles et fils d’Afrique qui brillent et nous rendent fiers. Aliou Bah en est un.
IbOu Diallo,
Du cabinet du Président, Jeune MoDeL