A la cour constitutionnelle, huit des neuf conseillers ne veulent plus de leur président.
Ils ont écrit à l’assemblée nationale pour le faire savoir aux parlementaires afin d’obtenir le départ de ce dernier.
Ces frondeurs majoritaires, ont formulé beaucoup de reproches contre leur président qui serait le contraire de ce qu’il apparaît être aux yeux de l’opinion.
Sa gestion qualifiée d’opaque de la manne financière, son dédain pour ses collaborateurs, pire, l’usage de faux dont il se rendrait coupable en tricotant à sa guise les conclusions des plénière, sont entre autres griefs portés contre Kéléfa Sall.
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ML Cissé