Même si la junte militaire au pouvoir a libéré douze (12) militaires et civils le vendredi 24 septembre à Conakry et à Kankan, plusieurs dizaines restent encore en détention. Sans nouvelle, leur avocat exprime des inquiétudes. Me Salifou Béavogui invite la justice à diligenter leur dossier à défaut de les libérer.
« Je souhaite humblement que le procès des militaires et civils poursuivis devant le tribunal militaire soit organisé, à défaut de leur remise en liberté », lance Me Beavogui.
Aux dernières nouvelles, des dispositions sont en train d’être prises par le tribunal militaire pour le jugement au cas par cas des militaires et civils en détention dans les maisons d’arrêts du pays.
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