Le secrétaire exécutif Adjoint de l’Agence Nationale de Lutte contre la Corruption Mohamed Konaté, a pris part à la récente réunion de la conférence des États parties à la Convention des Nations-Unies contre la Corruption, tenue à Vienne capitale de l’Autriche.
Cette rencontre a permis d’explorer divers sujets essentiels qui touchent directement à l’intégrité et à la transparence dans les affaires gouvernementales, dont l’objectif était de renforcer la coopération internationale et multilatérale, en vue d’améliorer la prévention de la corruption, sa détection, ainsi que les enquêtes et les poursuites en la matière.
À cette occasion, monsieur Konaté, devant l’assistance, a vanté les progrès réalisés par son pays depuis le 5 septembre 2021, notamment dans la lutte contre la corruption.
Au nombre des réalisations, figure la relance réussie de l’ANLC-PBG, une initiative qui a rétabli la présence de l’agence sur l’ensemble du territoire guinéen.
Aussi, la création de la Cour de Répression des Infractions Économiques et Financières (CRIEF) ainsi que l’opérationnalisation de l’Agence de Gestion et de Recouvrements des Avoirs Saisis et Confisqués (AGRASC) témoignant d’une volonté claire de lutter contre la corruption sous toutes ses formes.
Il faut noter que cette session de la Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la Corruption a marqué une avancée significative dans la lutte mondiale contre les détournements des deniers publics.
Les travaux se poursuivent depuis la capitale autrichienne, Vienne, avec l’engagement continu de nombreux acteurs internationaux pour promouvoir l’intégrité et la transparence.
Au cœur des discussions, l’examen approfondi du chapitre IV de la Convention des Nations Unies contre la Corruption, un instrument juridique puissant qui cherche à éradiquer la corruption sous toutes ses formes.
Mognouma Cissé