Depuis le mois d’octobre dernier, des militants de l’opposition périssent en prison après des mois de détention.
Une situation qui pousse certains activistes de la société civile guinéenne, notamment Dr Dansa Kourouma à interpeller l’Institution Nationale Indépendante des Droits de l’Homme (INIDH).
Selon le président du CNOSC, l’institution devrait sérieusement se pencher sur les conditions d’incarcération en Guinée.
“Je demande à l’INIDH de diligenter une enquête dans les prisons, pour voir les conditions d’incarcération de ceux qui sont détenus. D’abord pour les infractions de droit commun, mais aussi pour des infractions liées aux faits politiques. Ceci est une responsabilité qui l’incombe”, a-t-il souligné au micro de mosaiqueguinne.com ce jeudi.
Hadjiratou Bah