C’est comme un camouflet pour le président de la commission électorale nationale indépendante.
Me Amadou Salif Kébé avait bel et bien saisi la cour constitutionnelle pour la fixation de la date du double scrutin législatif et référendaire au 15 mars, mais l’institution gardienne de la constitution a jugé la requête mal fondée, justifiant qu’aucune autorisation de fixation de la date des élections législatives et référendaire ne peut être donnée en l’état tant que la mission des experts de la CEDEAO ne rende pas son rapport
Ci-joint copie de l’arrêt de la cour constitutionnelle
Mohamed Bangoura