Depuis leur avènement dans la Préfecture de Fria, il y a plus dix ans, les taxi-motos, moyens de déplacement privilégiés pour de nombreux usagers, sont devenues soudainement de véritables cercueils roulants, faute de formation et de régulation par les autorités locales
Sous-formés et ignorant pour la plupart le code de la route, ces taxi-motards ironiquement appelés ici à Fria, les bouchers de la route, sont prêts pour plus de profits, à s’embarquer avec deux dès fois jusqu’à trois individus et plus, violant au vu et au su de la police routière, les signaux régissant la circulation routière.
Face à la montée vertigineuse du phénomène, usagers et piétons s’inquiètent et pensent qu’il faut trouver des mesures idoines pour enrayer cette situation alarmante qui engendre chaque année, plusieurs morts et cause des dizaines de blessés plus ou moins graves.
«Beaucoup ne connaissent pas le code de la route et ça occasionne souvent des morts. Il faut que les autorités nous aident à discipliner les conducteurs de taxi-moto. Ce sont de véritables cercueils roulants», s’insurge Ibrahima Sylla, citoyen domicilié au quartier Sabèndè secteur Donka.
Également préoccupés par les nombreux cas de décès et de blessés, les responsables du syndicat des taxi-motos sont récemment montés au créneau pour essayer de rectifier le tir. En procédant à un nouveau recensement général des moto-taxis dans la ville de Fria afin d’identifier les utilisateurs de ces engins roulants, ils ont aussi initié une formation de base axée sur le civisme et le code de la route.
Ces mesures, disent-ils, visent à professionnaliser le métier en tenant compte du respect et de la protection des usagers et des piétons qui subissent quotidiennement la foudre des taxi-motards.
Sous-formés et ignorant pour la plupart le code de la route, ces taxi-motards ironiquement appelés ici à Fria, les bouchers de la route, sont prêts pour plus de profits, à s’embarquer avec deux dès fois jusqu’à trois individus et plus, violant au vu et au su de la police routière, les signaux régissant la circulation routière.
Face à la montée vertigineuse du phénomène, usagers et piétons s’inquiètent et pensent qu’il faut trouver des mesures idoines pour enrayer cette situation alarmante qui engendre chaque année, plusieurs morts et cause des dizaines de blessés plus ou moins graves.
«Beaucoup ne connaissent pas le code de la route et ça occasionne souvent des morts. Il faut que les autorités nous aident à discipliner les conducteurs de taxi-moto. Ce sont de véritables cercueils roulants», s’insurge Ibrahima Sylla, citoyen domicilié au quartier Sabèndè secteur Donka.
Également préoccupés par les nombreux cas de décès et de blessés, les responsables du syndicat des taxi-motos sont récemment montés au créneau pour essayer de rectifier le tir. En procédant à un nouveau recensement général des moto-taxis dans la ville de Fria afin d’identifier les utilisateurs de ces engins roulants, ils ont aussi initié une formation de base axée sur le civisme et le code de la route.
Ces mesures, disent-ils, visent à professionnaliser le métier en tenant compte du respect et de la protection des usagers et des piétons qui subissent quotidiennement la foudre des taxi-motards.
Abdoulay GV, Fria pour Mosaiqueguinée.com