La légèreté et l’indigence argumentaire avec laquelle Sekou Koundouno s’est adressé à son mentor et au CNOSCG, dénotent son caractère erratique et grossier.
Je ne souhaite pas être à la place de Dr Dansa pour supporter les souillures d’un Sekou Koundouno qu’il a habillé, encadré et élevé dans la société civile.
Mais je ne suis pas aussi surpris, Koundouno est par nature ingrat, il l’a fait à Damantang qui lui a aussi nourri aux yeux de beaucoup de Guinéens, aujourd’hui celui-ci n’échappe pas à ses outrages.
C’est pourquoi le FNDC ne peut qu’échouer, et son échec ne résulte pas de la force du pouvoir, mais de l’incohérence entre ses objectifs fixés et ses intérêts narcissistes recherchés, et l’imposture qui caractérise leur combat.
André Malraux disait que le Rubicond n’est pas un fleuve qu’on franchit en sens inverse.
Les bourreaux du FNDC se trouvent en son sein, Sekou Koundouno et Abdourahamane SANOH sont des mendiants politiques qui cherchent leur pain quotidien dans les pochent de Cellou Dalein.
Ils ont perdu toute audience et toute légitimité auprès des citoyens et même des partenaires Techniques et financiers qui finançaient leurs ONG.
Le seul moyen pour eux de vivre est de sucer l’opposition en maquillant leur combat par la présence de soi-disant société civile.
Ils entendent mener un combat contre le mal, mais en réalité ils sont pires que leur cible, plus dangereux et plus arriviste.
Il convient de fustiger des guinéens de leur niveau, par qui le fléau du manichéisme est en train de prendre corps en république de Guinée.
En déniant aux autres leur légitime droit de ne pas penser comme eux, ils contribuent à creuser profondément la tombe de notre démocratie. Ils font pires, en s’élevant contre des entités et personnes qui ont des positions neutres, médianes et impartiales.
C’est très simple de comprendre leur sort, les résultats du FNDC se limitent aux nombre de morts enregistré, les pillages, vandalismes et les injures grossières.
Gabriel Haba, Secrétaire administratif du CNOSCG