Après leur arrestation brutale, le coordinateur national du FNDC et deux de ses collègues vont passer leur première nuit en garde à vue, dans les locaux de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ).
Le FNDC qui, dans une déclaration parvenue à notre rédaction ce mardi soir, exige la libération de ses membres, tient pour seul responsable de ces actes, la partie toxique du CNRD.
Ci-dessous, déclaration :