C’est la grande inconnue de cette seconde audience du tribunal correctionnel de Dixinn dans le procès intenté contre Aboubacar Fabou Camara, directeur central de la police judiciaire et Mohamed Lamine Simakan, commandant de la Brigade de répression et d’intervention, BRI.
Mais l’un des plaignants, Sekou Koundouno se veut optimiste.
«Nous attendons beaucoup de l’audience de ce jeudi 01 octobre 2020, notamment l’exécution des deux mandats d’arrêt du tribunal de première instance de Dixinn. Ce serait normal car conforme à la lettre et à l’esprit de la décision rendue contre Commissaire Aboubacar Fabou Camara, Directeur centrale de la police judiciaire (DCPJ) et le commandant de la BRI, Mohamed lamine Simankan. Ces deux prévenus doivent être conduits au tribunal correctionnel sous forte escorte de la garde pénitentiaire. Force doit rester à la loi. Si par complicité ou par inertie le ministère public refuse d’exécuter ces mandats au motif qu’il aurait exercé un recours contre la décision du tribunal, nous savons compter sur l’efficacité du pool des avocats du FNDC et la responsabilité du tribunal», a confié le responsable en charge des stratégies du FNDC ce jeudi à la rédaction de mosaiqueguinee.com.
Mosaiqueguinee.com
Bonsoir, si Fatou doit aller à la TPI, elle doit être avec cellou dalein diallo si non je lui conseil de ne pas se présenter. Elle sait que sa vie est menacée par les loubards de ufdg.
Fatou Gnelloy dit qu’elle est violée par celou dalein diallo, mais malheureusement les journalistes guinéens restent bouche bée sur ce viol et aucun média n’en parle. Les questions que je me pose aujourd’hui, est ce que les journalistes Guinéens ont ils peur de cellou dalein diallo ?
Ou on a payé leurs silences ?