Au lendemain du double scrutin législatif et référendaire, émaillé de violences, la France a sorti un communiqué dans lequel, elle a indiqué que ces élections n’ont pas été crédibles.
L’ancienne puissance colonisatrice est allée plus loin, pour dénoncer la répression perpétrée par les forces de défense et de sécurité lors de ce scrutin.
Chez nos confrères des « Grandes Gueules » de la radio Espace Fm, le ministre secrétaire général à la présidence a indiqué qu’au regard de la situation, qu’il faudrait que les mots utilisés soient des mots responsables.
« … J’aurais aimé que cette déclaration vienne de l’Ambassade des Etats Unis qui a pris la peine d’observer le processus. Mais c’est déclaré par un pays qui n’avait pas d’observateur sur le terrain, ni daigné fournir un effort local d’observation sur place du déroulement du scrutin. L’Ambassadeur des Etats unis, le personnel de l’Ambassade des Etats unis a pris la peine de sillonner tous les bureaux de vote et d’avoir son point de vue. On est dans un exercice où il faut savoir mesure gardée tous. Et nous, et nos partenaires, et les pays et les organisations : modestie, mesure et gravité de la situation pour que les mots qui sont utilisés soient des mots responsables de chacun », a-t-il indiqué.
Kiridi Bangoura est allé plus loin, en soulignant l’impossibilité de juger un scrutin, pour lequel on n’a pas envoyé d’observateurs.
Comment vous pouvez juger un scrutin dont vous n’avez participé ni à l’observation à l’organisation ? Et vous n’avez envoyé personne pour attester de tout cela. Maintenant, si les affirmations d’une ONG guinéenne suffisent pour définir la politique extérieure de la France, et qu’il y a parti pris dans ce sens-là, nous aviserons », a-t-il laissé entendre.
DOURA
C’est chien comme sa ont toujours été le problème de ce pays, ils n’ont aucune dignité et aucune honte c’est bâtard d’opportunistes d’ethno.