Les négociations entre le gouvernement et le syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG) autour des huit millions de francs guinéens comme salaire et base, que demande ce syndicat, ont démarré ce vendredi 04 mai 2018 dans les locaux du ministère de la fonction publique. C’était en présence de l’inspecteur général du travail et du Secrétaire général du SLECG, Aboubacar Soumah.
Cette première journée a consisté à la mise en place d’une commission paritaire gouvernement/syndicat pour l’ouverture d’un couloir de dialogue proprement dit.
Selon Dr Alia Camara, inspecteur général du travail, la date butoir pour le dépôt de la liste de cette commission paritaire est fixée au mardi à venir. Quant à la poursuite des négociations, celles-ci est prévue le vendredi prochain.
D’après Aboubacar Soumah, ils ont ensemble défini les termes sur lesquels les négociations doivent débuter. Mais avant, dit-il, le SLECG a posé des préalables au gouvernement concernant des violations selon ce syndicat, du protocole signé en février dernier. Parmi ces violations, Aboubacar Soumah cite le non-respect de la date 02 mai (hier NDLR) pour l’ouverture des négociations, et la mutation du côté de Kindia de certains enseignants à l’intérieur du pays pour fait de grève.
Tout de même, Aboubacar Soumah se dit confiant. «Quad il y a négociations, obligatoirement il faut qu’il y ait une issue. Je suis sûr que les arguments ne nous manqueront pas pour obtenir quelque chose des mains du gouvernement », a-t-il déclaré.
A rappeler que pour que ces négociations puissent s’ouvrir ce vendredi, il a fallu que l’inspecteur général du travail reprenne en « bonne et due » forme la lettre d’invitation qu’elle avait adressée à Aboubacar Soumah, secrétaire général du SLECG.
Mamadou Sagnane
Cette première journée a consisté à la mise en place d’une commission paritaire gouvernement/syndicat pour l’ouverture d’un couloir de dialogue proprement dit.
Selon Dr Alia Camara, inspecteur général du travail, la date butoir pour le dépôt de la liste de cette commission paritaire est fixée au mardi à venir. Quant à la poursuite des négociations, celles-ci est prévue le vendredi prochain.
D’après Aboubacar Soumah, ils ont ensemble défini les termes sur lesquels les négociations doivent débuter. Mais avant, dit-il, le SLECG a posé des préalables au gouvernement concernant des violations selon ce syndicat, du protocole signé en février dernier. Parmi ces violations, Aboubacar Soumah cite le non-respect de la date 02 mai (hier NDLR) pour l’ouverture des négociations, et la mutation du côté de Kindia de certains enseignants à l’intérieur du pays pour fait de grève.
Tout de même, Aboubacar Soumah se dit confiant. «Quad il y a négociations, obligatoirement il faut qu’il y ait une issue. Je suis sûr que les arguments ne nous manqueront pas pour obtenir quelque chose des mains du gouvernement », a-t-il déclaré.
A rappeler que pour que ces négociations puissent s’ouvrir ce vendredi, il a fallu que l’inspecteur général du travail reprenne en « bonne et due » forme la lettre d’invitation qu’elle avait adressée à Aboubacar Soumah, secrétaire général du SLECG.
Mamadou Sagnane