Le réchauffement climatique est un phénomène qui devient de plus en plus inquiétant dans le monde.
Pour lutter contre ce fléau, l’ONG CIPAD-Guinée (Community Initiatives For Peace And Development), compte à travers sa 2ème édition « foot climat » lutter contre le dérèglement climatique en Guinée.
Cet événement est placé sous le haut patronage du ministère de l’environnement et le développement durable et celui du ministère de la jeunesse et des sports.
Ce tournoi vise aussi à célébrer les prix internationaux sur le changement climatique obtenus par CIPAD-Guinée.
Mamadi Aminata Touré est le président exécutif de CIPAD Guinée.
« C‘est pour célébrer ces 2 trophées que nous avons eus au niveau de la conférence internationale sur le changement climatique. C’est pourquoi, on dit qu’il fallait le fêter entre frères de toute corporation confondue à savoir les partis politiques, la société civile, les journalistes et des jeunes entrepreneurs. Vous savez le foot football rassemble tout le monde. C’est pourquoi à travers ce match de football, nous voulons rassembler tout le monde au tour de cette problématique du climat pour pouvoir sensibiliser, éduquer sur la protection de l’environnement. A partir d’une activité sportive nous allons prôner notre message au lieu de se mettre dans un hôtel. Il y aura la finale »,a-t-il annoncé.
Quatre équipes ont compéti pour la journée de ce mercredi à savoir l’équipe des journalistes qui a gagné sur le score de 2 buts à 1 face aux entrepreneurs
L’équipe des partis politiques a remporté contre celle de la société civile sur le score de 5 buts à 1.
Les partenaires de cet événement, acteurs politiques, sociétés civile, journalistes et entrepreneurs ont tous fait part de leurs préoccupations sur le réchauffement climatique.
«Nous sommes heureux de participer à cette 2eme édition du foot climat. Nous avons décidé d’accompagner les initiateurs de ce projet parce que vous savez le problème de climat concerne tout le monde. Si l’environnement n’est pas sain, on ne peut avoir une bonne santé », a confié un journaliste.
Aïssata Barry