Ces dernières années, avec l’appui des ONG de défense des femmes, plusieurs personnes ont dénoncé des cas de viols auprès des autorités compétentes, en l’occurrence l’office de protection du genre et des mœurs (OPROGEM) ou la brigade de protection des personnes vulnérables.
Pour ce premier trimestre 2021, l’OPROGEM a enregistré 410 cas d’infractions et 77 personnes ont été déférées devant les juridictions compétentes.
Faut-il le noter ,au niveau des tribunaux, de lourdes peines de prison sont en train d’être infligées au personnes reconnues coupables de viol. A Mamou par exemple, des violeurs se sont vus condamner à des peines allant de huit à dix ans de prison ferme.
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