Au lendemain du sursis d’un mois accordé par la CEDEAO à la Guinée lors de son 61ème sommet tenu à Accra, le front national pour la défense de la constitution peut se frotter les mains.
En effet, les deux exigences du FNDC ont été prises en compte par les chefs d’Etats.
Les présidents Ouest-africains ont d’abord réitéré leur rejet du délai de 36 mois de transition adopté par le CNRD.
L’autre revendication portant sur la désignation et l’envoi d’un Médiateur/Facilitateur a été actée par la CEDEAO à travers la nomination d’un nouveau médiateur après la démission de l’ancien Mohamed Ibn Chambas.
L’ancien président béninois Thomas Boni Yayi qui le remplace aura pour mission d’obtenir une réduction de la période de 36 mois de transition proposée par la junte militaire.
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