C’est une bonne nouvelle pour Cherif Bah, Ousmane Gaoual Diallo, Cellou Baldé et Abdoulaye Bah. La justice vient de leur accorder un régime de liberté semi-surveillée, ce vendredi soir, pour des raisons médicales.
La décision a été lue au JT de la télévision nationale par le directeur Sékouba Savané. Les quatre détenus politiques sont soumis à plusieurs obligations comme poursuivre leur traitement par leurs médecins personnels, ne pas sortir de Conakry, la capitale sans autorisation préalable de l’administration pénitentiaire ou répondre à tout moment à l’appel de la justice au besoin. Toute violation de ce régime de liberté semi-surveillance entraîne sa révocation a prévenu le directeur national de l’administration pénitentiaire, Charles Victor Macka.
Il faut rappeler que ces quatre détenus sont alités depuis plusieurs semaines au CHU Ignace Deen.
Nous y reviendrons !
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