Les ministres et institutions de la République se relaient devant les conseillers du CNT. Les structures sont différentes, les préoccupations et les priorités aussi. La présidence se frotte les mains.
La CENI espérait un peu plus, le ministère de la Défense accepte le budget alloué à son département.
Cette année, le gouvernement a accordé 1 339 306 008 GNF contre 1 364 662 160 l’année dernière. On note une différence de 25 356 125 soit 1,86%. Abdoul Kabèlè Camara est prêt à produire des résultats avec le montant alloué : « Nous avons un budget réduit certes mais qui nous permettra de réaliser des investissements. C’est ça, notre objectif chaque année posé une pierre et avancer au fur et à mesure».
Contrairement à la Défense, la présidence a obtenu une légère augmentation. C’est le ministre secrétaire Kiridi Bangoura qui était devant les conseillers pour défendre le budget : « le constat, c’est un budget qui est en légère progression et c’est un budget qui met en avant les missions constitutionnelles du chef de l’Etat, c’est aussi un budget qui insiste sur la nécessaire décontraction de certains services de la présidence et qui donne toute l’autorisation aux organes personnalisés de compétences nationales comme l’agent judiciaire de l’Etat ».
Des priorités, la présidence en a : « En 2014, il y a la réalisation des grands projets que ça soit dans les domaines routiers, nous voulons aussi suivre les priorités présidentielles notamment des infrastructures, de l’énergie, de l’agriculture et aussi des secteurs sociaux comme la santé et l’éducation ».
Entre le budget alloué à la CENI et la prévision faite par l’institution, la différence est énorme souligne le Directeur de la planification Pathé Dieng : « il y a un gap de 70 milliards entre la prévision budgétaire déposé par le gouvernement et la proposition financière faite par la CENI».
Dieng ajoute que 2014 est aussi une année électorale. A la différence des scrutins précédents, les résultats des consultations communales et communautaires : « les résultats seront publiés au niveau de la base par les cours et tribunaux et par les justices de paix. Donc il faut appuyer ces différents acteurs. L’une des particularités de ces élections également, on fera appelle à des candidatures indépendantes.»
Sadio Baldé
Les ministres et institutions de la République se relaient devant les conseillers du CNT. Les structures sont différentes, les préoccupations et les priorités aussi. La présidence se frotte les mains. La CENI espérait un peu plus, le ministère de la Défense accepte le budget alloué à son département.
Cette année, le gouvernement a accordé 1 339 306 008 GNF contre 1 364 662 160 l’année dernière. On note une différence de 25 356 125 soit 1,86%. Abdoul Kabèlè Camara est prêt à produire des résultats avec le montant alloué : « Nous avons un budget réduit certes mais qui nous permettra de réaliser des investissements. C’est ça, notre objectif chaque année posé une pierre et avancer au fur et à mesure».
Contrairement à la Défense, la présidence a obtenu une légère augmentation. C’est le ministre secrétaire Kiridi Bangoura qui était devant les conseillers pour défendre le budget : « le constat, c’est un budget qui est en légère progression et c’est un budget qui met en avant les missions constitutionnelles du chef de l’Etat, c’est aussi un budget qui insiste sur la nécessaire décontraction de certains services de la présidence et qui donne toute l’autorisation aux organes personnalisés de compétences nationales comme l’agent judiciaire de l’Etat ».
Des priorités, la présidence en a : « En 2014, il y a la réalisation des grands projets que ça soit dans les domaines routiers, nous voulons aussi suivre les priorités présidentielles notamment des infrastructures, de l’énergie, de l’agriculture et aussi des secteurs sociaux comme la santé et l’éducation ».
Entre le budget alloué à la CENI et la prévision faite par l’institution, la différence est énorme souligne le Directeur de la planification Pathé Dieng : « il y a un gap de 70 milliards entre la prévision budgétaire déposé par le gouvernement et la proposition financière faite par la CENI».
Dieng ajoute que 2014 est aussi une année électorale. A la différence des scrutins précédents, les résultats des consultations communales et communautaires : « les résultats seront publiés au niveau de la base par les cours et tribunaux et par les justices de paix. Donc il faut appuyer ces différents acteurs. L’une des particularités de ces élections également, on fera appelle à des candidatures indépendantes.»
Sadio Baldé