Je suis très choquée par la suspension du journaliste Moussa Tatakourou Diawara du site mosaiqueguinee.com, suspension relative à son article sur la découverte d’un cas d’homosexuels pris en flagrant délit en plein ébat sexuel dans les rues de Conakry.
Les raisons évoquées par la HAC restent injustes et injustifiées. Autant on pense qu’il ne devait pas diffuser ces articles et images, autant il faut CONDAMNER le manque de pudeur des individus auteurs de cet acte.
Je présume que s’ils ont décidé de s’adonner à de telles pratiques publiquement, c’est par ce qu’ils voulaient être médiatisés. Si un référendum était soumis au PEUPLE DE GUINEE pour se déterminer sur l’homosexualité, elle sera rejetée à plus de 100%.
Et ce même si la CENI recevait des instructions de faire passer la loi, Bakary Fofana ne porte pas une ceinture aussi solide pour proclamer un résultat disant que les guinéens approuvent cette pratique.
Le problème est que les scientifiques justifiaient que cette pratique était une maladie. Mais aujourd’hui on nous dit que c’est un CHOIX, une ORIENTATION.
Ils s’octroient des Droits et s’imposent au monde. Donc ce n’est plus une maladie mais de la PERVERSION pure et simple. Et ça c’est pas normal. La morale est où ?
L’homosexualité constitue une menace pour la survie de l’espèce humaine. Ce qui me révolte davantage c’est le fait d’accorder à des gens qui ont opté pour une vie sexuelle improductive, la possibilité d’adopter des enfants.
C’est une insulte pour les femmes qui portent les enfants et enfantent pour donner à des individus hors normes. Moussa a décidé de combattre un fléau qui menace la survie de l’humanité. Au nom de la liberté d’expression il ne doit pas être puni pour ça.
Mme Yansané Fatou Baldé