Invité cette semaine par nos confrères de la RTG, le président de la chambre préfectorale de l’agriculture de Koundara n’a pas voulu cacher le risque de famine qui, selon lui, guette cette préfecture située à la frontière entre a Guinée et le Sénégal.
Elhadj Chérif Mayanta, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a indiqué que depuis le mois de septembre, il ne pleut pas à Koundara. La pluie a commencé très bien, mais en fin de compte, dit-il, ceux qui ont semé tardivement ont complètement échoué.
« Parce qu’il a plu jusqu’à un certain moment et la pluie s’est arrêtée », a-t-il fait savoir.
Parmi les localités concernées, il a cité les sous-préfectures de Termessé, Youkounkoun et Sambaìlo. C’est seulement Saraboidho et Tamassy qui vont récolter un peu, dira-t-il.
« On est entré en consultation avec les groupements et les gros paysans. Ensuite, on va approcher les techniciens de la direction préfectorale de l’agriculture pour pouvoir évaluer les différents dégâts causés par le manque d’eau afin de faire face au gouvernement et aux personnes de bonnes volontés», a expliqué ce responsable agricole.
Si rien n’est fait, prévient El hadj Chérif Mayanta, la famine risque de s’emparer de la zone de Koundara.
Alhassane fofana.
Elhadj Chérif Mayanta, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a indiqué que depuis le mois de septembre, il ne pleut pas à Koundara. La pluie a commencé très bien, mais en fin de compte, dit-il, ceux qui ont semé tardivement ont complètement échoué.
« Parce qu’il a plu jusqu’à un certain moment et la pluie s’est arrêtée », a-t-il fait savoir.
Parmi les localités concernées, il a cité les sous-préfectures de Termessé, Youkounkoun et Sambaìlo. C’est seulement Saraboidho et Tamassy qui vont récolter un peu, dira-t-il.
« On est entré en consultation avec les groupements et les gros paysans. Ensuite, on va approcher les techniciens de la direction préfectorale de l’agriculture pour pouvoir évaluer les différents dégâts causés par le manque d’eau afin de faire face au gouvernement et aux personnes de bonnes volontés», a expliqué ce responsable agricole.
Si rien n’est fait, prévient El hadj Chérif Mayanta, la famine risque de s’emparer de la zone de Koundara.
Alhassane fofana.