Encore des nouvelles croustillantes à la SEG où la crise atteint un niveau de règlements de compte, jamais vu.
C’est un fonctionnement illustratif d’un laisser-aller et d’un laisser-faire pour un responsable des lieux qui passerait outre les bonnes pratiques de gestion à cause, dit-on, de ses faisceaux de pénétration à Sekhoutoureya ou de la redistribution, dit-on également, qu’il fait en faveur du RPG au Foutah (ce qui reste à vérifier car on l’accuse de duplicité).
Pour cette fois-ci, ça parait plus sérieux. Le coordinateur de la SEG, à mesure de couper les avantages dus à certains cadres de son service, vient priver certains d’entre eux de leurs salaires depuis le mois dernier, c’est du moins ce qu’on apprend auprès de responsables de la structure.
Il s’agit des travailleurs de la SEG, pour des raisons de services, qui sont détachés par le département, avec l’accord de leur coordinateur.
Ils sont déployés dans les services d’eau ou dans les travaux du barrage Souapiti.
« Diouldé a touché à son harem en bloquant notre salaire. Il doit savoir qu’on est arrivé à la SEG avant lui suite à un concours que lui n’a pas réussi. On sait comment il est rentré à la SEG, mais ça, c’est un débat d’une autre fois s’il persiste… bloquer notre salaire, on ne se laissera pas faire », s’est indigné un des cadres concernés, parlant bien sûr de son coordinateur.
Encore une fois, ironise-t-on, Diouldé peut impunément dormir tranquille tant que Thalès se trouve dans cette position privilégiée auprès du Président.
Nous y reviendrons !!!
Mohamed
C’est un fonctionnement illustratif d’un laisser-aller et d’un laisser-faire pour un responsable des lieux qui passerait outre les bonnes pratiques de gestion à cause, dit-on, de ses faisceaux de pénétration à Sekhoutoureya ou de la redistribution, dit-on également, qu’il fait en faveur du RPG au Foutah (ce qui reste à vérifier car on l’accuse de duplicité).
Pour cette fois-ci, ça parait plus sérieux. Le coordinateur de la SEG, à mesure de couper les avantages dus à certains cadres de son service, vient priver certains d’entre eux de leurs salaires depuis le mois dernier, c’est du moins ce qu’on apprend auprès de responsables de la structure.
Il s’agit des travailleurs de la SEG, pour des raisons de services, qui sont détachés par le département, avec l’accord de leur coordinateur.
Ils sont déployés dans les services d’eau ou dans les travaux du barrage Souapiti.
« Diouldé a touché à son harem en bloquant notre salaire. Il doit savoir qu’on est arrivé à la SEG avant lui suite à un concours que lui n’a pas réussi. On sait comment il est rentré à la SEG, mais ça, c’est un débat d’une autre fois s’il persiste… bloquer notre salaire, on ne se laissera pas faire », s’est indigné un des cadres concernés, parlant bien sûr de son coordinateur.
Encore une fois, ironise-t-on, Diouldé peut impunément dormir tranquille tant que Thalès se trouve dans cette position privilégiée auprès du Président.
Nous y reviendrons !!!
Mohamed